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Témoignage : "La vente à terme, plus qu'une solution, une délivrance !"
Posté le 02 avril 2012
Nous avons très récemment abordé sur ce blog les grands principes de la vente à terme. Mais, après tout, qui mieux qu’un vendeur en personne, pourrait témoigner de cette expérience ? C’est donc un M. Elie souriant et décontracté qui nous a accueillis chez lui pour nous confier son ressenti au sujet de sa vente à terme, conclue au début de l’année. Il s’est souvenu pour nous de son "beau parcours" avec l’agence Abauvie, qu’il qualifie d’entrée de "relation fructueuse et conviviale".
Le dilemme de M. Elie, retraité, propriétaire immobilier… et endetté
M. Elie, jeune retraité de 66 ans, occupe l’appartement du 12° arrondissement qu’il a acquis en 1991. "Un vrai coup de foudre", raconte-t-il. "J’ai tout de suite su que cet appartement était fait pour moi." Il faut dire que le bien est coquet : 75 m² lumineux surplombant un quartier animé et commerçant. M. Elie entend bien s’y assurer une belle vie. Il investit et s’investit alors dans sa rénovation, sa mise aux normes, son agencement et sa décoration : il en fait son "cocon", pour lequel il développe au fil du temps un attachement affectif particulier.
Mais voilà, des événements imprévus viennent mettre en danger ce bel équilibre. D’une part, M. Elie a fait l’acquisition il y a quelques temps d’une demeure à Manosque. Très vite, les travaux de restauration s’enchaînent et entraînent des coûts imprévus et pesants. Dans le même temps, la crise financière que l’on connait aggrave dramatiquement les difficultés financières de M. Elie, qui s’endette de plus en plus.
M. Elie ne souhaite pas vendre sa maison de Manosque, qui est devenue sa résidence principale, et qui est "en devenir". Il est toujours aussi attaché à son appartement parisien, et le vendre signifierait pour lui de trop nombreux compromis et renoncements. M. Elie a besoin de liquidités, mais souhaite jouir de son bien. Alors, que faire ?
Du viager à la vente à terme
C’est alors que la solution du viager lui vient à l’esprit. M. Elie est dans un premier temps orienté vers l’agence immobilière de son syndic de copropriétaires. Mais, n’étant pas spécialiste du viager, cette agence ne parvient à aucun résultat. M. Elie prend alors des renseignements autour de lui et sur internet, pour trouver une agence de spécialistes en viager, qui soit aussi une agence de proximité. Il appelle ainsi l’agence Abauvie Viager, dans le 12° arrondissement de Paris.
"Le premier contact a été extraordinaire ! ", se souvient-il. "Delphine Croci (la gérante de l’agence) et moi avons parlé près de deux heures au téléphone. J’ai senti qu’il y avait une écoute attentive, elle cherchait à cerner précisément mon projet. Je n’ai pas eu l’impression d’une recherche de business à tout prix." Delphine Croci rend visite à M. Elie et publie rapidement une annonce de vente en viager.
Nous sommes en juillet 2011. D’un côté, le calme estival… De l’autre, le jeune âge de M. Elie… Les investisseurs se manifestent peu. En outre, l’annonce de la modification de la loi sur les plus-values des résidences secondaires met une pression supplémentaire à M. Elie : il doit impérativement vendre son appartement avant le 1° février, date de mise en application de la loi !
Pro-actifs, réactifs, Delphine Croci et M. Elie reformulent alors le projet pour le rendre immédiatement plus attractif aux yeux des investisseurs. L’annonce prend désormais l’intitulé de "vente à terme". L’avantage ? Les mensualités sont fixes et connues d’avance. Et de plus, M. Elie accepte de libérer l’appartement dans 15 ans !
Dès lors, les visites et propositions s’enchaînent. Après quelques hésitations et un petit suspense, le contrat est signé en janvier 2012. M. Elie est soulagé, il a vendu vite, à temps, et au bon prix ; le bouquet et les mensualités qui lui seront versés épongeront une grande partie de ses dettes. Les acheteurs sont eux aussi ravis : actuellement fonctionnaires, ils auront besoin d’un logement pour leur retraite, c’est-à-dire précisément dans… 15 ans ! Les deux projets coïncident donc parfaitement.
La vente à terme : plus qu’une solution, une délivrance !
Aujourd’hui, M. Elie est serein et se déclare plus que satisfait de sa vente. "Je suis conscient que ce que je vis est une grande chance", confie-t-il. "En effet, je suis plutôt jeune, et j’étais très pressé de vendre : or, ce sont deux contraintes particulièrement ardues lors d’une vente de ce type. Mais malgré cela, tout s’est très bien passé. J’ai vécu une belle relation humaine et morale. Delphine Croci a été pro-active et à l’écoute. Elle a recherché avant tout l’équilibre. Je sais que mes intérêts ont été très bien défendus. J’ai bénéficié du meilleur compromis possible. Ma décision a été d’autant plus facile à prendre que je n’ai pas de descendance. C’est vrai que désormais, je ne suis plus propriétaire des murs, mais, finalement, quelle importance ? Je vais continuer à habiter l’appartement que j’aime pendant 15 ans. De toute façon, il faut bien s’adapter aux aléas de la vie. La vente à terme a été pour moi plus qu’une solution : elle a été une délivrance !"
Crédits images : © Abauvie Viager